Une rencontre a lieu et une nouvelle aventure commence, jusqu’au jour où… Rien ne va plus. Autour de vous, le monde s’écroule. Il aura suffit d’un mot, d’une phrase pour qu’une page se tourne. Il ou elle vous a quitté… Une sensation étrange vous submerge, et de nombreuses questions se bousculent. En réalité, peu importe les causes de la rupture, sa décision semble être prise et mûrement réfléchie : il n’y a plus de « nous », juste lui/elle et moi. Comment faire pour que cette souffrance destructrice, étouffante et intense disparaisse enfin ? Il paraît que cette phase ne dure qu’un temps, mais quand finira-t-elle ?
Etape 1 : Accuser le coup et accepter la souffrance
La période de deuil est propre à chacun. Personne ne pourra vous dire si vous ressentirez cette douleur pendant une semaine, un mois ou un an. Malgré les multiples tentatives de vos proches, il n’existe pas de formule magique…
Face à cette nouvelle, peut-être inattendue, votre réaction peut varier. Ce qui est sûr, c’est qu’il est préférable d’éviter de virer dans l’hystérie, combinant larmes, menaces ou harcèlement. Cela, malheureusement, ne fera que le/la repousser davantage. Rendez vous compte que vous êtes en état de choc, et que rien n’y changera. Alors, s’il doit y avoir des explications, ce n’est certainement pas le moment propice.
Vous rendre sur votre lieu de travail le lendemain, cela peut s’avérer compliqué. N’hésitez pas à poser quelques jours de congés, et ainsi éviter toute crise de larmes devant la machine à café (cette boisson dont il/elle ne pouvait se passer…)
A la place, confiez vous à une personne qui saura vous écouter. Et pour le bien de tout le monde, évitez les donneurs de leçons qui ne feront qu’accentuer votre mal-être.
Cette personne vous dira certainement de ne le contacter sous aucun prétexte. Ce conseil est certainement le plus approprié à ce moment précis. Tenez bon !
Etape 2 : Reprendre progressivement goût à la vie
Enfin, l’état de choc est passé ! Dites vous bien que vous avez fait le plus gros du travail… Maintenant, il est grand temps de vous occupez l’esprit !
Pour les plus combattants, le sport est idéal. Allez courir ou frappez dans un punching ball, tant que ça vous défoule ! Après ça, vous n’aurez qu’une préoccupation : vos courbatures. Pour ceux qui ne sont pas adeptes des activités physiques, pensez à trouver d’autres activités, tout aussi libératrices : se plonger dans un livre captivant, rire aux éclats devant une comédie ou se donner corps et âme à sa carrière professionnelle.
Ce qu’il vous reste à faire, et non des moindres, c’est de faire disparaître toutes ces petites choses qui vous rappellent votre histoire. Un bijou, un caleçon ou une brosse à dents, peu importe, jetez tout !
Renoncez à comprendre les motifs de la rupture. A part vous empêcher de dormir, « comprendre » ne vous aidera en rien ! A moins de lui demander (ce qu’il ne faut surtout pas faire !) vous ne le saurez pas. Alors, abandonnez l’idée!
Etape 3 : Reprendre sa vie en main
Dès cette 3e étape, vous devez être capable de faire la différence entre le chagrin et l’orgueil.
S’il y a bien une question qu’il faut se poser, c’est bien celle-ci : « Me manque-t-il/elle réellement, ou suis-je soumis à mon orgueil qui n’accepte pas l’abandon ? »
Gardez à l’esprit qu’une rupture n’est en aucun cas une défaite personnelle. Alors oui, le célibat peut parfois apparaître comme un échec social. Mais c’est FAUX ! Vous pensez vous fondre plus facilement dans la masse en étant en couple. Or, être en couple, c’est un cadeau, non un avantage social.
Maintenant, Sortez et profitez à nouveau de la vie ! D’ailleurs, pourquoi ne pas faire une nouvelle rencontre ?